5 juin 2011
Blonde et alors ?
Un monsieur, la soixantaine florissante, passe à ma caisse. Le bonjour est haut perché. Le client se sent obligé de parler fort parce que, je cite, "je suis blonde". Je me sens piquée au vif. Ce n'est qu'un pauvre mysogine.
Je me presse de lui passer ses articles. Vite, hors de ma vue !
Mon au revoir se veut volontairement haut perché. Parce qu'il est bête.
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